mardi 17 août 2010

Du carburant à base de whisky?

Une université écossaise a annoncé mardi avoir déposé un brevet après la mise au point par ses chercheurs d'un biocarburant élaboré à partir de sous-produits de la fabrication de whisky, qui ne nécessite pas de modification des véhicules.

Ce biocarburant a été mis au point après deux ans de recherches par le Centre de recherche sur les biocarburants de l'université Napier d'Edimbourg (Écosse), grâce à un programme qui a coûté 260 000 livres (environ 420 000$ CAN).


Les scientifiques ont utilisé les deux principaux sous-produits découlant de la fabrication du whisky: le «pot ale», résidu liquide restant dans les alambics de cuivre après la première distillation, et le «draff», un résidu du brassage d'orge et d'eau.


«L'Union européenne a déclaré que les biocarburants devraient représenter 10% du total des ventes de carburants d'ici 2020. Nous sommes déterminés à trouver de nouvelles et innovantes sources d'énergies renouvelables», a déclaré le professeur Martin Tangney, directeur du Centre de recherche écossais.


«Ce nouveau biocarburant est fabriqué à partir de matières biologiques qui ont déjà été utilisées» dans un processus industriel, a-t-il ajouté, indiquant que «la forme la plus probable de distribution serait de mélanger 5 à 10% de biocarburant avec de l'essence ou du gazole. Or 5 à 10% de carburant classique en moins représente une très, très grande différence», a-t-il souligné.


«C'est une option durable en matière d'environnement et qui promet de générer de nouveaux revenus grâce à l'une des plus importantes industries de l'Écosse», a-t-il souligné.


Agence France-Presse
Londres

lundi 16 août 2010

Un produit écolo pour laver son auto

Rien ne vaut le grand nettoyage du printemps. Un jet d'eau puissant projeté sur et sous la carrosserie et dans les puits de roue débarrasse votre véhicule des saletés qui se sont accumulées durant la saison hivernale. Mais pour le nettoyage régulier, Sans-Zo est un produit écologique et 100% biodégradabl qui nettoie, lustre et protège votre véhicule sans utiliser d'eau. Il est aussi conçu pour la moto, le bateau et même votre tente-caravane.

En fait, l'essayer, c'est l'adopter. Vous lui trouverez bien d'autres fonctions. Sans-Zo remplace non seulement le nettoyant traditionnel, mais également les produits pour laver les vitres et les surfaces dures de l'habitacle. On peut l'utiliser sans problème pour nettoyer la carrosserie, les vitres, les plastiques et les jantes en alliage. Par ailleurs, grâce à son effet lustrant, nul besoin d'appliquer de la cire. En outre, il laisse une fine couche protectrice sur la surface, ce qui permet d'espacer les nettoyages.


Deux linges en microfibres et la bouteille de Sans-Zo sont tout ce dont vous avez besoin pour faire le nettoyage intérieur et extérieur de votre véhicule. Le truc est de vaporiser le produit par petites sections en commençant par le haut du véhicule.

Évitez la tentation, n'arrosez pas votre véhicule avant de commencer le travail. Comme son nom l'indique, Sans-Zo ne nécessite aucune eau, ni pour le nettoyage ni pour le rinçage. Il suffit de vaporiser, d'essuyer avec le premier linge et, ensuite, de polir avec le deuxième chiffon. Si votre auto est vraiment crasseuse, un troisième chiffon pourrait s'avérer utile.


Évitez d'appliquer le produit en plein soleil. Par ailleurs, Sans-Zo ne réagit pas très bien au froid.


N'oubliez pas, Sans-Zo ne remplace pas le grand nettoyage du printemps. Cependant, il est idéal pour l'entretien régulier et pour faire des retouches rapides.


Les objectifs de l'entreprise Sans-Zo sont de limiter le gaspillage de l'eau potable et de faciliter l'accès à l'eau potable à ceux qui en sont privés. Ainsi, Sans-Zo verse 1% de ses ventes à différents organismes non gouvernementaux investis dans le développement pour l'accessibilité à l'eau potable dans les pays émergents.


Chaque fois que vous lavez votre véhicule avec Sans-Zo, vous préservez près de 150 litres d'eau potable, sans oublier que ce produit est sans danger pour l'environnement.


Sylvie Rainville, collaboration spéciale